Notre ami, l’écrivain Neale Donald Walsch dit que nous voyons la beauté où nous voulons la voir. Nous voyons ce qui est mauvais, moche, dégoutant où nous avons peur de voir la beauté.
En effet, pour Yahbook, les yeux sont très souvent comme nous le disons toujours, le reflet de ce qui est comme information dans le cerveau d’un individu. Cela peut nous convaincre en usant de l’exemple du troisième Reich pendant la deuxième guerre mondiale. Les individus soldats, et même certains civils voyaient le juifs comme une bête à tuer. Ainsi, les yeux de ces individus ne voyaient plus le juifs comme un humain. Le génocide du Rwanda, nous complète aussi cette remarque. Le Rwanda où entre citoyens d’un seul et même pays ont massacré les autres. Tous ces exemples, confirment ce que le philosophe Yäh nous dévoile dans une citations tirée de son roman intitulé : Hévawna. Que les yeux de chacun voient par ce qui est dans son cerveau.
Expérience :
Le jour où vous vous trouverez parmi les gens quelconque, poser une question à deux ou trois personnes, genre, vous aimez les tlacacahuatl ?
Vous allez remarquer qu’ils vont détester tout de suite en disant, non ! Par contre, lorsque vous leur direz vous n’aimez pas les cacahuètes ? Cependant, ceux qui aiment ces graines, se rappelleront depuis leur cerveau de ce que sont les arachides et admettront.