Nos amis de la Côte d’Ivoire, nous font remarquer qu’un arbre dessouché n’a pas une ombre aussi apaisante comparée à l’ombre qu’il projetait de l’endroit où il avait poussé naturellement.
Nous Yahbook, affirmons cette constatation botanique. Évidemment, l’arbre un arbre dessouché, ne diffuse pas une ombre vivante en ce sens que l’arbre qui vit est Joyeux et nous le remarquons à la diffusion de son ombre. Un ombrage qui tire les animaux dans la brousse ou en forêt et les humains dans les villages, compagnes et villes. Tous viennent à lui afin de bénéficier de son ouvrage.
Par contre, quand l’arbre est déraciné pour être transplanté à un autre endroit que du sol où il est né, il est moins content. Les feuilles et les fleurs dessèchent. Et l’on remarquera la diminution de la propagation de son ombre. Là, malheureusement nous ne profiterons plus du couvert de son ombre tentée de bienveillance du Divin.
Pour Yahbook, il y a aussi le sens inverse. C’est-à-dire un arbre qui poussait à un endroit rocailleux où il y a moins de ses congénères ou d’autres arbres qu’il apprécie ne diffusera pas une ombre de qualité. Mais plutôt une projection d’ombre de mal-être. Alors que quand il est dessouché pour être planté à un endroit arable ou à côté de ses congénères ou d’autres arbres, il sera content et diffusera une ombre noire de bienveillance cosmique.
Il en va aussi qu’un arbre poussé et demeurant dans un sol caillouteux si c’en est pas sa nature de ce que le Divin la crée à pousser sur des roches… il sera mécontent. Un tel arbre charge ceux qui viennent à son ombre des ondes négatives de son état de mécontentement.
Ainsi, une bonne pensée, parole un acte de reconnaissance ou d’amour envers un tel arbre, le soutient et l’aide à surmonter ses épreuves de l’expérience de la vie.
Toutefois, ce proverbe ne se limite pas que là. Que l’ombre de l’arbre qui vit est bien différente et plus porteuse que quand il est déraciné pour changer d’endroit alors qu’il n’a rien demandé. Mais ce proverbe dénote bien un autre enseignement.
En conséquence, selon la réception cosmique de l’institut Yahbook, ce proverbe ivoirien parle de l’individu. Qu’un individu qu’il soit ignorant ou pas ignorant, il est mieux de le laisser à son état de conscience du moment tant qu’il n’éprouve ni n’a pas décidé de lui-même de changer sa condition. Une personne comme ça si vous le forcer, il perd tout sens de sa vie. Et il peut projeter des ondes négatives s’il est mauvais de nature jusqu’à se tuer lui-même ou donner le contraire de la vie aux autres personnes.
Yahbook, l’Âme des peuples !