Notre cher ami le grand philosophe Antisthène revient en vie à Yahbook afin de nous réapprendre qu’il est conseillé d’avoir affaire aux corbeaux qu’aux flatteurs, car ceux-ci dévorent les morts et ceux-là les vivants.
De cette approche poétique, mais très édifiante, nous Yahbook acclamons la grande déduction du philosophe Antisthène qui a su bien le dire en donnant une image ultraréaliste du béhaviorisme ou du comportementalisme d’un côté diable très développé de certains êtres humains.
L’on remarque de la citation, le corbeau qui n’est qu’un charognard, est moins terrible qu’un humain flatteur. Alors que les corbeaux n’ont pas extrait la vie de la bête morte qu’ils dévorent, certains êtres humains flatteurs agonisent sans pitié ceux qui apparaissent faibles, ignorants devant eux. Que leur proie soit plus pauvre qu’eux, ils n’en tiennent même pas compte de la misère de l’autre, mais vilipendent le malheureux jusqu’à ce que mort s’ensuive.
Nous Yahbook disons si certains individus s’expriment sans trêve à l’égard du plus malheureux qu’eux, c’est parce qu’ils sont devenus complètement, et se sont métamorphosés diamétralement en entité diable sur Terre. Leur double personnalité démonique ayant prit le devant sur la totalité de leur être. De tels êtres sont susceptibles de commettre tout acte qui étonne l’âme et vide l’esprit de l’individu noble qui s’épate de tels démonismes.