Ce titre du roman de notre amie, l’écrivaine Arundhati Roy qui se révèle être pour nous une citation, nous a interpellé.
En vertu de cette connotation, Yahbook, l’Âme des peuples va visiter à l’intérieur de l’âme individuelle de cette amie citoyenne du monde en rectifiant puis apporter l’enseignement caché en notre chère amie.
En effet, selon Yahbook, le Dieu des Petits Riens fait référence aux gens qui souffrent…
En revanche, selon la beauté, l’utilité et la vérité des enseignements du Livre de la Connaissance, il y a au monde trois genres de gens qui traversent des souffrances atroces de la réalité matérielle.
En premier lieu, nous avons les bons ( les ignorants-profanes et peu instruits : les gens ordinaires) qui, dans la nuit de l’ignorance que constitue l’existence, ils pataugent sans espoir afin de survivre. Mais le Divin les assiste quand même, car la plus part du temps, ces gens là malgré l’impression de l’abandant de la Nature, ils renferment en eux, la joie, l’envie extrême de vivre. Et ils vivent presque comme par miracle, bien qu’ils n’aient rien financièrement ni intellectuellement. Toutefois, malgré l’oppression des fachistes, un jour, la Nature les sauve en faisant chuter leur bourreaux.
En second lieu, il y a des méchants ( les ignorants-profanes, les ignorants-intellectuels), ceux-ci ne savant pas de façon spirituelle, le mauvais qu’ils sont. Mais ils sont quand même épaulés par l’étrange, Nature ! Et cela afin qu’un jour soit par la chute des autres ou de leurs propres déboires, qu’ils arrivent à comprendre ? les valeurs des principes de l’existence.
Pour conclure, nous avons des ignorants-chercheurs qui sont les philosophes, les scientifiques…, qui eux pour quelques ‘uns avant de briller, traversent des moments durs dans une humilité tendant à les rendre invisibles comparer aux autorités et quelques individus de présomption nobles de la société. Ces chercheurs des mystères paraissent médiocres, surtout ceux qui relèvent de la pauvreté ! Mais au final, ce Dieu des Petits Riens qu’ils sont en raison de leurs peines, preuves de la recherche de connaissances, le Divin les élèvent.