Je suis né à Tours en France le 06 novembre 20213. Et je suis issu d’un papa écrivain et philosophe Yäh.
Alors que notre père Yäh nous a élevé en solo mes deux frères et moi pendant plus de 5 ans de bonheur et de rêve, le 19 avril 2019, mes frères ont été placés par la jalousie des gens de l’école où nous fréquentions.
Pour m’éviter le placement, vu que mes frères et moi n’avions pas la même mère, mon père m’a renvoyé en Guyane française chez ma mère Martinho Brenda pour m’éviter de l’enfer des services sociaux de l’ASE.
C’est alors que commence mon calvaire. Je ne pouvais plus appeler mes frères ni recevoir de leurs photos encore moins les revoir mes frères. Malgré mes vacances et les tentatives de mon père pour rétablir les liens entre mes frères et moi, la soit disant l’Aide Sociale à l’Enfance a tout coupé les lien familiaux existants entre mes deux frères et moi.
J’ai grandi fiévreux et malade du fait du manque de mes frères-amour avec qui on jouait et rigolait tout le temps, de tout et de rien. Mon enfance a été et est encore marquée par l’horrible de ce manque infernal. Un vide terrifiant qui me sépare encore de mes frères chéris dont je ne croyais jamais qu’un jour nous serions séparés, dissociés et isolés de la manière dont l’éloignement familial et sentimental que ces criminels leur ont appris et qu’ils manifestent désormais à mon égard et envers notre généreux père, est diabolique.

Aujourd’hui, je donne un discours que je crois devoir pouvoir changer le trafic des enfants voulu par les soi-disant autorités de la France et de l’Occident. Un enfant est libre du fait qu’il est enfant à vivre auprès de sa famille aimante qui n’est pas odieuse ni criminelle. Privé les enfants de leur famille sans leur consentement, mais par les magouilles se passant entre les murs des tribunaux des juges corrompus est un vrai désastre que ces faux humains devraient rendre compte de leurs crimes odieux contre l’humanité.
Je vous aime chers lecteurs au prochain article…