Le lundi 1er février, la Birmanie vient de faire un retour vers la dictature que vers le futur. Les frères d’armes comme ils aiment s’appeler les individus de cette institution de la mort plutôt que de la défense. Ils ont replongé le pays dans le K.O.
Un coup d’État a été manifesté par l’armée de ce pays et a conduit les adeptes de l’anarchie à arrêter la cheffe du gouvernement civil, Aung San Suu Kyi. Aung San Suu Kyi a été électoralement admise par le peuple par la voie du scrutin, mais l’armée birmane a démontré ce qu’elle ne sait faire d’autre que la brutalité en s’accaparant du pouvoir par le moyen qui n’est pas du ressort du pouvoir, mais plutôt du banditisme.
Alors que ce pays la Birmanie est restée plus d’un demi-siècle sous l’ombre de la dictature du régime militaire. Voilà qu’en pleine conscience du XXIe siècle, ses ombres du passé ont refait surplace.
Perspectives politiques
Nous Yahbook, nous souhaiterions que les militaires de ce pays rendre maintenant le pouvoir par une transition gouvernementale dirigée par les civils. Cela, le temps de revenir à la paix par rapport au chaos qu’ils viennent de perpétrer. Et nous espérons qu’ils libèreront tous les dirigeants civils qu’ils ont privés illégalement de leur quotidien. Toutefois, pour nous Yahbook, le pouvoir n’est pas de l’ordre des militaires, mais des philosophes…