Notre ami, le poète Théognis de Mégare en retour à la vie à Yahbook, redit que celui-là ou celle-là qu’est pauvre, ne peut ni dire quoi que ce soit ni ne peut tout faire. En tout cas ce qu’est dans son intérêt.
Yahbook, votre enseigne d’étude des concepts, valorise cette bonne preuve verbale du récit de l’existence.
Néanmoins nous Yahbook, disons que la pauvreté n’altère pas seulement le langage chez quelqu’un, nouant son organe de la parole et de goût. Mais la pauvreté corrompt aussi l’esprit et par ricochet, tout le corps organique de l’individu.
En conséquence pour Yahbook, la pauvreté quand elle est mal acquiescée dans l’esprit de quelconque individu, elle est susceptible d’élever l’énergie démonique latente ou déjà expressive chez quelques-uns. Cependant, la pauvreté, mariée à l’idiotie, à la débilité fait atteindre au patient l’état diabolique de sa double nature : La vision nouvelle d’une politique neuve pour les pays du monde entier ! L’institution de la peur. – YAHBOOK
Développement personnel, la notion de l’idiotie : la méchanceté. – YAHBOOK
En conclusion pour Yahbook, la pauvreté est, à une certaine dimension, bien et pas bien. Comme pratiquement pour toute chose dans ce bas-monde. Ainsi, loin de ne la considérer, la pauvreté que comme une négativité ! la pauvreté est pour nous Yahbook : La pauvreté est une lampe, une lanterne qui éclaire pendant le jour, les ténèbres épaisses et denses de l’illusion de l’esprit humain ! ( Yäh / extrait du roman jeunesse : Neirailce et les zombies de Noël.)
[…] Toutefois pour Yahbook, tout ce que nous venons d’analyser, dépend de l’individu lui-même. S’il veut demeurer nul, débile et imbécile, cela ne dépend que de lui même non pas de la richesse ni de la pauvreté ! Bien même que ces états du social favorisent soit les défauts soit les qualités. Réf. ” Tout homme enchaîné par la pauvreté ne peut ni rien dire ni rien faire, car la langue lui… […]