PARUTION
En langue française !
En anglais est encours, traduit par l’écrivain Yäh lui-même.
Dans le roman Hévawna, notre ami, le philosophe, poète et romancier Yäh fait remarquer que les gens n’ont pas de couleur de peau. C’est uniquement la sottise qui accorde à certains individus une couleur qui les caractérise. Et cette couleur est la niaiserie.
Nous avions dit que nous, êtres humains, quand les yeux venaient à mourir, nous ne pouvons plus voir des couleurs.
Pour Yahbook, votre enseigne d’étude des concepts, les yeux sont comme la lanterne, l’ampoule. Et le cerveau est comme la mèche ou l’électricité. Quand le cerveau est bien portant, il éclaire les yeux de l’individu de civisme, de quiétude de l’esprit et de la paix pour lui et pour le monde.
En, revanche, lorsque le cerveau devient obsolète, défectueux ou se dégradant par des idéologies immondes, il obscurcit les globes oculaires des individus. Et les individus ne voient plus que par le poison qui habite leur cerveau.
(Explication : 5)