Décidément le coivid-19 n’est pas le seul à posséder le monopole de chasser les gens dans les rues ni de les persuader de rester chez eux. À Moscou, près de 1 000 personnes se sont fait arrêter le 23 janvier 2021. Les manifestants rassemblés pour chanter la libération de l’opposant russe, Alexeï Navalny, aux oreilles des autorités, ont nui à la tranquillité de ces dernières. Selon le rapport apporté par l’ONG OVD-Info, spécialisée dans le suivi des manifestations en Russie.
Bien loin des menaces mortelles de coronavirus, les émeutiers et les forces antiémeutes n’ont pas hésité violemment de se vautrer aux autres. Il semble que la mort véhiculée par le coronavirus n’a pas assez de force pour éteindre l’incompréhension et la haine entre les humains. Cette rencontre de violence a mouvementé Moscou qui pourtant était vidé par le dispositif mondial de confinement pour remédier au virus du Covid -19.
Cette contestation s’est organisée à quelques mois des législatives prévues pour l’automne. Nous remarquons là comme au Capitole américain que c’est la politique qui alimente l’incompréhension et la haine entre les gens du peuple.
Pour Yahbook, la menace envers les humains à proprement parler ne vient pas du covid-19, mais c’est autrui. Car les bons comme les méchants sont dans les deux camps, côté autorité et côté citoyen. Et de tels individus plus acérés que le virus du Covid-19 n’attendent qu’un moyen pour allumer le feu. Un feu mortel pour brûler les autres, les innocents, et se consumer entre eux-mêmes.
Perspectives politiques
Néanmoins, comme nous le répétons toujours à Yahbook, les désordres politiques et sociaux viennent de l’ivraie que constitue le matérialisme. Cette intelligence a vieilli qu’il faut la changer sinon l’humanité sombrera. Ainsi, cela révèle de la compétence, du travail et de la responsabilité des autorités partout dans le monde. Celui de battre compagne contre le matérialisme. Car ce sont ces choses-là qui aliment la convoitise chez les individus, même analphabète, individu, voudra acquérir démesurément ce qu’il ne peut pas avoir sans d’abord nourrir le cerveau.