Qui va à la chasse perd sa place, cette citation tirée de l’Ancien Testament du Livre de la Bible, fait référence à l’histoire de deux frères : Esaü et Jacob.
Selon le noble avis de Yahbook, votre plateforme d’étude des concepts, cette citation a un avantage et un désavantage en raison de son utilisation.
En premier, pour Yahbook, cette vision n’est pas une bonne excuse de prendre la place de quelqu’un qui a sa propriété et que le fait de partir, son bien ne lui revienne plus. C’est de la canaillerie, la barbarie !
En tout cas pour Yahbook, cette première remarque n’est pas une belle vision des choses, car elle a tendance à stimuler les discordes. En conséquence, cette remarque nous pousse à résoudre une vision vieillotte de la justice : La prescription extinctive. Pour nous, nul ne peut perdre le droit de son bien acquis devant le temps, du fait de son inaction prolongée. C’est du banditisme une telle conclusion juridique. Un bien se perd par la mort ou du fait de céder, donner le droit à un tiers ou vendre soi-même son bien.
Par ailleurs, la deuxième partie de notre remarque sur cette citation, Yahbook, nous apprend qu’il y a des êtres démoniaques dans ce monde. Et de tels monstres ne conçoivent le droit et les lois que par la vision du mal (vol, tricherie, profits, domination…). Ainsi, cette pensée devrait nous rappeler à tout moment qu’ils sont là ! Et nous devrions prendre soin de nos bien et ne jamais abandonner son combat malgré le temps et l’espace. Car les intrus sont là dont le but de nous descendre et nous enterrer s’accaparer des biens qui ne leur appartiennent pas.
Yahbook, l’âme des peuples !